
Nom du blog :
coeurdhome
Description du blog :
Quand le destin pousse deux êtres à se retrouver au delà des frontières de la raison.
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
07.04.2012
Dernière mise à jour :
02.12.2025
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bonjour. merci. j'adore ce que vous écrivez : votre style, la romance, la douleur, les paysages. j'ai vécue un
Par Nathalie, le 01.12.2025
Une nouvelle fois il lui murmure:
"je suis là, je suis revenu".
Bien qu'elle ait les yeux toujours fermés, Marc sent le rythme de la respiration d’Anna s’accélérer, elle se réveille.
La force des émotions qui s'empare de son corps lui donne encore plus chaud. D’un geste rapide et sure mais toujours sans brusquerie pour ne pas la bousculer, il retire son tee-shirt, pour être maintenant torse nu, assis au bord du lit.
Alors que son vêtement vient juste de passer au-dessus sa tête, deux mains se poser sur sa nuque.
Un peu surpris, il la regarde, elle a les yeux ouverts, et bien qu'il fasse sombre dans la chambre, à la clarté de la fenêtre il voit ses yeux briller.
Anna ne dit rien, mais la pression des mains qu'elle exerce sur sa nuque, l'invite à rapprocher son visage du sien.
Ce doux baiser qu’il avait délicatement déposé sur son épaule l’avait réveillée.
Elle avait très vite reconnu l’odeur de son parfum quand il s’était approché d’elle. Il sentait si bon.
Pourtant, elle prenait un malin plaisir à lui laisser croire qu’elle dormait toujours profondément.
Elle s’était retournée en conservant les yeux clos sachant qu’il pourrait ainsi mieux distinguer son visage et ses formes dissimulées sous le drap qui la recouvrait.
Elle aimait quand son regard se posait sur elle, savoir qu’il l’observait. C’est pour cette raison qu’elle feignait d’être encore endormie.
Puis lorsqu’il s’est à nouveau penché vers elle pour cette fois lui effleurer les lèvres d’un baiser, elle avait senti le feu du désir envahir son corps.
Profitant qu’il enlevait son tee-shirt, l’atmosphère de la chambre était vraiment devenue étouffante, Anna lui attrape fermement la nuque de ses mains pourtant tremblantes d’émotion et surtout d’envie de lui.
Elle voulait qu’il s’approche plus près, qu’il sente la chaleur de son corps. Elle voulait qu’il l’embrasse langoureusement. Elle espérait que ce soir ne soit pas un vain rêve et que ce qu’ils avaient si longtemps repoussé se réalise enfin.
Doucement Marc entoure de ses mains ce visage sur lequel son cœur est si souvent venu s’accrocher, prend un instant le temps de le regarder, avant de plonger dans le bleu de ses yeux et de laisser ses lèvres aller à la rencontre des siennes.
Leurs bouche, leurs lèvres se retrouvent dans la chaleur et la ferveur de leurs émotions contenues, prennent le temps de se redécouvrir, puis doucement s'ouvrent, laissant à leur langue dans une joute que mène le désir, la liberté de s'unir.
Sur sa nuque la pression des mains se fait plus forte.
Une dernière fois, mais dans une vaine tentative se noyant dans leur bonheur naissant, la raison de Marc tente un dernier assaut.
Il ne l'entend même pas. Tout ce qui compte pour lui désormais, est de parvenir à se fondre dans la chaleur naissante de leur corps.
Poursuivant ce baiser dans lequel leurs langues continuent de se découvrir, leurs bouches de se mordiller de plaisir, les mains de Marc délaissent le visage d’Anna, pour doucement explorer le corps qui contre le sien vibre déjà d'émotions.
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Marc maintenant allongé sur le côté auprès d'Anna, tout en continuant de l’embrasser, de sa main brûlante et douce, épouse les formes de son cou, caresse sa gorge, puis glisse sur la peau nue de ses épaules.
Avant d’aller plus loin, interrompant leur baiser, il s’écarte pour une fois encore la regarder, lui donnant ainsi la possibilité de reprendre son souffle et le temps de pouvoir encore refuser d’aller plus loin, mais une nouvelle fois la pression des mains sur sa nuque l’attirer à elle.
Reprenant leur baiser, sa main poursuit l’exploration de son corps. Glisse d'abord sur son flanc jusqu'à ses hanches, puis vient doucement se poser sur son ventre sur le vêtement qui pour l'instant encore fait obstacle au contact de leur peau.
La respiration d’Anna se fait plus rapide, alors que sa main remonte jusqu'aux frontières de sa poitrine.
Dans un premier gémissement qui lui échappe, Anna apprécie la main douce qui englobe tour à tour la rondeur de ses seins, dans la chaleur de sa paume que le fin tissu de son tee-shirt n’empêche pas de passer.
Un frémissement l’envahit, tend son buste, les doigts se glissent sous son vêtement, premier contact sur la peau nue de son ventre.
La caresse sur sa peau remonte vers sa poitrine, sa bouche brûlante se pose sur son nombril.
Il sait que le gémissement qu'elle vient d'émettre est libérateur des désirs inavoués que, comme lui, elle avait contenus depuis qu’ils se connaissent. Ce soir ils se libèrent et vont s’exprimer, gémissements annonciateur de la volupté dans laquelle tous les deux ils s'enfoncent.
Dans la brûlure des mains et de la bouche qui maintenant parcourent ses seins, Anna mêle son prénom aux soupirs qu’elle laisse échapper.
Marc, déjà en boxer, lui retire son tee-shirt, et aussi légèrement que possible s’étend sur elle, donnant à leur poitrine de se sentir, contact des peaux dans un nouveau baiser partagé avec encore plus de fougue.
Puis alors que de ses baisers il parcourt sa poitrine, mordille la pointe de ses seins tendues par la volupté, impudiquement, livrée au plaisir qui boue dans son sang, Anna cambre son corps, la gorge offerte aux caresses qui lui font perdre la notion du temps.
Comme une liane enroulée à une branche, ses jambes emprisonnent celles de Marc, ses mains parcourent son dos, empoignent ses fesses. Elle perçoit l’intensité de la douce force qui tend ses muscles, vibrer contre elle la dureté d’un sexe que le boxer ne peut dissimuler et a du mal à contenir.
D'une pression de sescuisses, les mains passées sous l'élastique du dernier vêtementqu’il porte, elle tente de le retenir là, pour conserver sur elle le contact de son bassin, que par des ondulations lascives elle laisse aller à la rencontre du sien