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Nom du blog :
coeurdhome
Description du blog :
Quand le destin pousse deux êtres à se retrouver au delà des frontières de la raison.
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
07.04.2012
Dernière mise à jour :
02.12.2025

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CORPS UNIS (Suite)

CORPS UNIS (Suite)

Publié le 13/07/2019 à 21:45 par coeurdhome

 

D'une pression de sescuisses, les mains passées sous l'élastique du dernier vêtementqu’il porte, elle tente de le retenir là, pour conserver sur elle le contact de son bassin, que par des ondulations lascives elle laisse aller à la rencontre du sien

Le contact des mains sur son corps lui provoque des décharges électriques dans le bas-ventre. Marc se laisserait bien tenter de suivre ce bassin ondulant sous le sien, mais de sa bouche, de ses lèvres, il veut encore parcourir la douceur de la peau d’Anna, respirer le parfum de son corps.

Délaissant sa poitrine, il en effleure de ses lèvres chaque centimètre, passe sur le nombril, puis vient poser sa bouche dans le creux de l'aine que sa langue parcourt jusqu’à la naissance de la cuisse.

Sous cette nouvelle caresse Anna laisse échapper un soupir, son corps tour à tour se tend et se laisser aller.

Sur le petit lit de la chambre que plus aucun drap ne recouvre, à la lueur des lumières d'une nuit complice, deux corps s'embrasent.

 

Anna ne voulait pas se laisser aller à gémir encore plus fort son prénom, mais sous la caresse de ses mains qui massent ses reins, et de sa bouche qui après avoir reconnu et embrassé chacune de ses cuisses se pose maintenant sur sa toison, elle se mord la lèvre inférieure avant de s’abandonner dans un soupir signe du plaisir qui monte en elle.

Elle ne sait plus des mains ou de la bouche, qui investit son intimité.

C’'est un feu roulant qui sous cette incessante caresse intime, se répand dans tout son corps.

La volupté qui monte en elle inhibe toutes autres pensées, et dans cet abandon dans laquelle elle glisse, Anna n'attend plus que l’explosion de sa jouissance.

Marc s'enivre du parfum humide qui lui coule jusque dans la bouche. Anna est au paroxysme de son plaisir, tendue, à la limite de la jouissance vers laquelle il la conduit.

Pourtant il cesse là ses caresses, frustrant Anna qui gémit d’impatience. Il l’abandonne un instant, le temps d'un geste souple, de retirer son dernier vêtement.

Cette fois c'est entièrement nu qu'il s'étend au-dessus du corps d’Anna.

 

 

 ************************************************************

Suite

 

 

Un instant frustréepar cet abandon, dans le nouveau baiser torride qu'ils échangent Anna se laisse envahir par d'autres sensations lorsqu’elle perçoit sur son ventre comme une brûlure, la chaude caresse d’une verge tendue qu'elle devine partir à la rencontre du sien.

 

D'un mouvement de bassin qu'elle accompagne de tout son corps, et malgré la largeur réduite de son lit, elle fait rouler Marc sur le côté pour inverser leur position ; c'est maintenant elle qui le chevauche avec l'intention de le mener à son plaisir.

 

 

 

Les mains en appui sur la poitrine de son amant, elle se penche sur sa bouche renouvelle le baiser, interrompu.

 

La chaleur des mains de Marc lui parcourt la nuque puis descend le long de son dos, elle se redresse conservant son regard fixé sur le sien, et dans une danse langoureuse du bassin, ondule sur son ventre.

 

 

 

Marc la contemple dans la beauté de son impudeur : parfois les yeux fermés savourant le plaisir qu'elle ressent, parfois le fixant, lisant en lui celui qu'elle lui donne.

 

Dans cette douce danse du ventre Anna a laissé le pénis s'intercaler entre leur deux corps.

 

Ses ondulations ne sont maintenant plus que linéaires, parcourant, comme un rail, de son intimité avide de jouissance, cette hampe de chair qu'elle sent battre sous elle.

 

Cette fois c'est lui les mains dans sa chevelure, qui l'attire pour dans une nouvelle joute de leur bouche, jouir de la volupté de cet échange qui envahit leur corps, alors qu’Anna absorbe lentement son membre dans la douceur de son intimité ouverte et glissante.

 

 

 

Anna au contact de son vît à l’entrée de sa cavité secrète, a failli s’abandonner à la jouissance qui depuis quelques instants ne demande qu’à exploser.

 

Mais dans un dernier contrôle elle s’empale doucement sur la chaleur de cette chair dure et palpitante, pour l’emmener au plus profond d’elle-même.

 

Là, cessant tout mouvement, dans le contrôle de sa respiration et de ses émotions, redressée sur lui, elle le contemple discernant en lui es vagues successives de la montée du plaisir qu’il s’efforce aussi de contenir.

 

 

 

.