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Nom du blog :
coeurdhome
Description du blog :
Quand le destin pousse deux êtres à se retrouver au delà des frontières de la raison.
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
07.04.2012
Dernière mise à jour :
06.12.2025

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PAGE 47 - CORPS A CORPS

PAGE 47 - CORPS A CORPS

Publié le 07/12/2022 à 19:07 par coeurdhome

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En cet instant, leurs corps qui se retrouvent dans leur étreinte inassouvie, renvoient à plus tard, essayent même de leur faire oublier, les lendemains de leur histoire.

Chaque parcelle de peau de l'un épousant au mieux celle de l'autre. Jambes emmêlées, mains caressantes, bouches qui se donnent et prennent, ils ne pensent plus qu'à se fondre l'un en l'autre, ne plus faire qu'un, avec le rêve fou de pouvoir stopper le temps.

 

Anna se redresse à califourchon sur son amant. Elle lui offre ainsi la vision de son corps à demi-voilé par la chemise entrouverte. Visage encadré par ses cheveux défaits, dans lequel brillent ses lèvres humides de leurs baisers avides de plaisir, elle-même prend le temps gourmand de l'observer, ainsi soumis au rythme des ondulations de son bassin qu’elle laisse onduler sur le corps qu’elle chevauche.

Il est nu sous elle qui porte encore ses vêtements.

 

Se saisissant des mains encore posées sur ses hanches, Anna lui relève les bras, les pose sur le drap derrière sa tête, tout en venant reprendre sa bouche qu'elle commence de mordiller.

 

 

Marc étendu sur le lit se gave de l'image sensuelle qu'Anna dégage.

S’il s'écoutait, il la basculerait d'une ruade, mais il veut encore profiter de ce qu'elle lui offre.

 

De son cou à ses yeux, comme de sa gorge à son ventre, il aimerait la parcourir de sa bouche, de ses lèvres, glissant sa langue sur les parties sensibles de sa peau.

Mais Anna lui saisit les mains et les ramènent au-dessus de sa tête, comme prisonnier de son emprise.

Il sent les imperceptibles mouvements qu'elle donne à son bassin tout en venant de nouveau fouiller sa bouche de sa langue.

Encadrés par les pans tombants de la chemise d'une part, et par ses cheveux défaits d'autre part, dans la chaleur qui les enveloppe, la pointe de ses seins, doucement frottent son torse, électrisent ses sens.

 

Anna joue et "l'énerve" un peu, en interrompant le baiser qu'il cherche à poursuivre, l'observe, ondule du bassin sur la chair de la verge qu'elle emprisonne sous elle. Tout en poursuivant ses mouvements, s'aidant de sa main libre elle retire le pantalon qu’elle porte encore, savourant le chaud contact de sa peau.

 

Elle sait qu'il peut se libérer s’il le souhaite, mais constatant qu'il n'essaye pas, Anna relâche un peu son maintient, tout forçant un peu les mouvements de son ventre.

Ses secrètes liqueurs s'étalent sur lui alors qu'elle s'applique dans une caresse délicate, à glisser sa vulve sur toute la longueur de pénis tendu, jusqu’aux bourses sensibles.

Caresse dans laquelle elle prend le temps de s'attarder sur le gland, donnant à sa vulve de s'ouvrir à peine, juste pour qu'il en effleure l'entrée, avant de repartir en arrière.

Le sourire tendre et à la fois avide qu'elle lui envoie, le laisse curieux de la suite dans un gémissement qu’il retient.

 

Déjà, sa bouche à peine assouvie du baiser profond qu'elle vient de lui donner, il la voit se redresser à demi pour maîtriser un peu plus les mouvements de son bassin.

Alors qu’il admire son corps, ses sens essayent de résister à la caresse qu'elle lui donne quand les lèvres de sa grotte secrète s'entrouvrent enveloppant de leur chair et de leur absinthe, la tête de sa verge qui ne cherche déjà plus qu'à l'explorer encore plus loin.

 

Le maintient qu'elle lui impose n'enlève en rien à son envie grandissante de trouver en elle le passage qui l'amènera au sein de ses chairs.

Mais cette fois il décide de la laisser faire, contenant les élans qui du creux de ses reins le poussent à la pénétrer d'une ruade, lui faisant accélérer sa respiration dans l'effort qu'il met à se contenir tant ce qu'elle fait glisser sur lui le remplis de chaleur et de moiteur enivrante.

 

 

Anna qui le voit résister à l'excitation qui monte en lui, se laisse glisser sur le côté de son corps, tout en continuant de lui maintenir les mains.

Avec son autre main libre, elle enserre la hampe de chair entre ses doigts, pendant que sa bouche humide de leur partage et gonflée de sensualité, joue de ses lèvres comme de sa langue avant de se poser sur son torse.

Elle maintient, comme une cage enfermant un oiseau, ses doigts habiles et souples autour du sexe tendu qui dans ses palpitations semble vouloir s'échapper.

 

Puis elle libère ses mains, couvre d'un souffle léger ou mordille le torse et le ventre, tout en jouant d'une pression qu'elle exerce des ses doigts, sur la tête du sexe sensible ou au plus bas de sa racine, énervant ses parties les plus secrètes et prenant plaisir à le sentir palpiter dans sa main.

 

Lorsqu'elle relâche ses mains, Marc ne pense pas à bouger, plus désireux de profiter des sensations que ses doigts lui procurent, et encore moins lorsque après qu'elle ait parcouru son torse de sa bouche, il la sent de son souffle caresser l'extrémité de sa verge alors que de ses doigts elle continue de l’exacerber.

Enfin et libérateur, arrive le moment doux et humide du contact de ses lèvres sur son gland.

La lenteur avec laquelle elle en parcoure l'extrémité de ses lèvres entrouvertes, ou d'une pointe de langue qui darde l'entrée de son méat, commence à déchaîner le roulement de ses reins.

Doucement la bouche glisse le long de sa tige de chair, d'abord sur la première moitié, remontant à chaque fois l'enveloppant un maximum de la langue et l'amenant presque à sortir de sa bouche, ne gardant le contact du bout de ses lèvres qu'avec la pointe du pénis.

Et laissant le jeu de sa langue et de ses lèvres sur le pourtour du gland, redescend lentement l'amenant au plus profond de sa gorge.

 

 

 

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